SPORTRAITS - Stéphanie Gicquel

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SPORTRAITS - Le Sport comme École de la Vie

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Le Sport comme École de la Vie Stéphanie Gicquel, sportive de l’extrême, aventurière, exploratrice, auteure et passionnée par la vie replonge dans son enfance au début du podcast. Très active dès le plus jeune âge, elle raconte sa passion du sport né à l’école mais qu’elle n’a pu pratiquer dans le cadre institutionnel que bien après. Née à Carcassonne, elle explique avoir grandi dans un milieu modeste mais déjà des rêves plein la tête et déterminée. Son rêve était de voyager, de découvrir le monde. C’est pourquoi, elle s’est donnée les moyens d’y arriver, ce qui l’a menée en Antarctique. Elle revient également sur les aventuriers qu’elle suivait plus jeune comme Nicolas Vanier ou Jean-Louis Etienne qui a traversé l’Antarctique avec des chiens de traineau. Côté études, son rêve était d’intégrer une école pour s’émanciper, trouver les clés pour aller plus loin, voyager. Elle a rapidement fait le rapprochement entre son acharnement et sa détermination nécessaires dans le domaine scolaire et le sport de haut niveau. Elle affirme notamment que sa persévérance et son acharnement étaient déjà présents à cette époque. Stéphanie Gicquel s’exprime ensuite sur son quotidien d’athlète de haut niveau où elle conjugue entrainement réguliers et son travail dans un cabinet d’affaires. Puis, elle revient en détails sur son expédition en Antarctique de 2045km à skis de randonnées à -50 degrés, une vraie situation de survie aussi bien physique que mentale où l’audace est indispensable. Elle explique qu’elle a toujours eu cette urgence de de vivre en elle car tout peut se terminer du jour au lendemain. Elle décrit également sa pratique de l’ultra fond à haut niveau et son titre de championne de France de 24h en 2018. Elle affirme que l’’expérience, la persévérance et l’endurance sont les clefs de la réussite. Le talent ne fait pas tout. C’est avec le temps qu’on atteint ses objectifs. A la fin du podcast, elle raconte comment elle a réussi à passer outre les avis négatifs portés sur sa capacité physique et mentale pour un tel voyage en Antarctique. Elle affirme vouloir casser les clichés et se dire que si un homme avait déjà réalisé une telle expédition, elle pouvait, elle aussi, y arriver. Aujourd’hui, Stéphanie Gicquel affirme vouloir partager son aventure avec des jeunes et des femmes qui n’oseraient pas tenter l’expérience par peur de ne pas être conformes aux normes. Elle veut donc se détacher du cliché de l’aventurier grand et fort et souhaite partager cela avec le plus grand nombre. Elle se confie et avoue avec enthousiasme que les retours positifs reçus suite aux conférences et livres qu’elle a publiés sont un véritable moteur pour elle.  See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.